Sciences Citoyennes fait un double pari. Le premier est de réunir des chercheurs scientifiques critiques et des « profanes » engagés dans des luttes (sociales, médicales, environnementales) où ils rencontrent - voire contestent - la technoscience dominante et l’expertise officielle. Le second est d’unir, dans une réflexion et une action transversale de « politisation » de la science et de l’expertise, des acteurs impliqués dans des secteurs souvent compartimentés (agriculture, énergie, bio-médical, santé environnementale, NTIC, brevetage…).
Trois axes de travail sont au coeur de son engagement : 1. l’accroissement des capacités de recherche et d’expertise de la société civile, des forces associatives, consuméristes, syndicales et citoyennes (création d’un tiers-secteur scientifique),
2. la stimulation de la liberté d’expression et de débat dans le monde scientifique,
3. la promotion de l’élaboration démocratique des choix scientifiques et techniques.