Privatisation du vivant
Du refus aux contre-propositions
La privatisation du vivant, c’est-à-dire l’extension des brevets industriels aux organismes vivants, concentre des interrogations d’ordre éthique, philosophique, économique, juridique et politique. Ce document tente de reprendre de manière synthétique les raisons et les enjeux de la privatisation du vivant, de présenter les points principaux du débat qui doivent conduire à la refuser, et de déboucher sur quelques propositions de riposte et d’alternatives.