L’empreinte eau
Les faces cachées d’une ressource vitale
Le caractère limité de l’eau douce disponible est aujourd’hui une réalité incontestable et engage à revoir de toute urgence la manière d’estimer notre consommation d’eau. Apparu dans les dix dernières années, le concept d’empreinte eau s’inspire de la notion d’empreinte écologique et tente d’estimer l’intégralité des quantités d’eau dépensées. Pour bien maîtriser notre empreinte eau individuelle, il faut tenir compte de notre consommation d’eau bleue ou verte locale (l’eau des réseaux ou de pluie) mais aussi de toute l’eau contenue virtuellement dans les produits que nous achetons et qui a été réellement consommée ailleurs, appelée eau virtuelle. Sous cet angle inédit, plusieurs questions se posent désormais. Combien d’eau utilisons-nous exactement et quelle eau contribue à notre mode de vie ? Où se situent les gaspillages les plus importants d’eau ? Comment les réduire ? Le commerce de produits alimentaires peut-il être une solution à la crise mondiale de l’eau ? Comment l’eau est-elle aujourd’hui ou sera-t-elle demain un ingrédient à la fois des tensions géopolitiques de notre monde et de leurs solutions ? Grâce à une présentation des concepts et de leurs implications concrètes, ce livre ouvre des perspectives et propose de nouvelles solutions pour tenter de résoudre la crise de l’eau.
Vidéo « Eau rage, eau des espoirs ! » #DATAGUEULE 67
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Presse
« La sobriété passe par le respect des cycles de l’eau » : lire l’interview d’Emma Haziza qui cite Daniel Zimmer dans We demain (août 2022).
« Sécheresse en France : la guerre de l’eau est déclarée » : lire le dossier spécial sécheresse de L’Obs qui mentionne l’ouvrage L’empreinte eau (juillet 2022).
« Les faces cachées de l’eau » : regarder la conférence de Zimmer sur TedxDijon (septembre 2014).