Démocratie forte
Face aux totalitarismes ou au capitalisme internationalisé, la démocratie est trop souvent définie par ce qu’elle ne fait pas. Benjamin Barber, l’un des intellectuels américains les plus écoutés de Bill Clinton lors de sa présidence, défend ici l’idée de démocraties « fortes », mues par un idéal positif de participation et d’implication des citoyens à l’égard du bien commun.