Gouvernance

. . .

La non-violence reste pour beaucoup assimilée à un pacifisme béat, à une posture naïve, donc potentiellement dangereuse quand le terrorisme a déjà frappé. Pourtant, au regard de l’engrenage destructeur de la haine, il semble aujourd’hui crucial de considérer l’idée d’une réponse non-violente.

Les normes comptables, véritable cœur de fonctionnement de l’entreprise et de l’État, sont tributaires d’une idéologie libérale.

Universitaire chinois vivant en France, Lun Zhang propose ici une rétrospective de l’histoire contemporaine chinoise à travers une série d’articles.

Les auteurs déconstruisent le mythe d’un armement nucléaire qui serait une garantie ultime de sécurité par la dissuasion, car les armes nucléaires représentent un risque inouï pour l’humanité tout entière.

Nos villes constituent aujourd’hui l’horizon quasi-obligatoire de nos vies, et cristallisent tous les défis actuels. L’auteur dresse ici un panorama argumenté des contraintes de l’urbanisme, et émet nombre de propositions à destination des élus locaux, des professionnels et surtout de tous les citoyens de la ville sans qui rien ne se fera. Pour comprendre, débattre et agir en vue de changer nos villes et de nous les faire aimer.

Cet ouvrage étudie le conflit comme un fait social porteur d’opportunités, sur différents terrains : les violences dans la ville, les violences produites par les politiques publiques sur l’asile et les migrations ou encore les réponses politiques aux menaces du terrorisme.

Le RDIE, peu connu du grand public, est un mécanisme permettant à une entreprise de porter un litige l’opposant à un État devant une juridiction privée. Cet ouvrage explique le fonctionnement du droit international de l’investissement et du RDIE et propose des pistes pour le repenser.

Le modèle suédois a démontré qu’un haut niveau de protection et de redistribution ne s’opposait nullement au dynamisme des secteurs marchands. Ce modèle n’est certes pas la panacée, mais sa logique profonde demeure une source d’inspiration pour tous ceux qui cherchent une alternative face aux recettes libérales.

De l’Espagne à la Grèce, puis en France avec Nuit debout, le mouvement d’occupation des places dénonce l’accaparement du pouvoir par l’« oligarchie des 1 % », la corruption des dirigeants et la tentation autoritaire. Benjamin Sourice analyse de l’intérieur ces mouvements d’occupation, qui ont cherché à diffuser ces idéaux d’égalité, de liberté et d’émancipation universelle si malmenés aujourd’hui.