Gouvernance et coopération internationale

Effet de mode ou nouvel outil d’analyse de l’action collective, la notion de société civile est partout.

En décrivant l’étonnant pouvoir d’influence des ONG au regard de leurs modestes moyens, Henri Rouillé d’Orfeuil jette les bases d’une participation plus active des citoyens à la gouvernance mondiale.

Dans le domaine spécifique de la santé, l’auteur, dépassant la simple description du « mal être » du monde du développement, s’attache à en comprendre les causes profondes et à proposer des solutions adaptées.

Le mot même de développement paraît aujourd’hui un mirage. Mais ce mirage laisse apparaître un potentiel considérable que le fonctionnement actuel de l’État, du système d’aide et de l’ordre économique international tend à dédaigner.

À l’initiative de Michel Rocard et de Pierre Calame, un processus de réflexion collective a été engagé sur la coopération entre l’Union européenne et les pays ACP.

Qu’il s’agisse de la lutte contre la pauvreté, de la défense d’un espace humanitaire indépendant ou du renforcement des sociétés civiles des pays du Sud, les défis du XXIè siècle imposent aux ONG une mobilisation sans faille.

Peut-on envisager de créer un véritable système d’aide – démocratique dans son exécution, adéquat dans ses actions, juste dans ses conséquences ?

Le constat de l’insuffisance et de l’inadaptation de l’aide publique au développement débouche sur une série de propositions de Guillaume Olivier.

Des praticiens de tous les pays concernés de s’exprimer sur la coopération entre l’Union européenne et les pays ACP.

Qu’est-ce que l’Amérique latine et l’Europe peuvent attendre mutuellement d’une coopération intercontinentale ?