Le passage à un développement soutenable requiert de sortir d’une logique purement quantitative du temps, et de savoir mieux articuler les différents rythmes à l’œuvre dans nos sociétés.
Toutes les formes de temporalité se réduisent-elles au temps universel des horloges et de la technologie ? Non, il en existe d’autres, comme le temps de nos corps, de la vie sociale, ou encore celui des écosystèmes, etc.